En étudiant les événements autour de la crucifixion et de la résurrection de Yeshua, on peut voir que Dieu a largement remué ciel et terre pour que Son peuple parvienne à une connaissance salvatrice du Messie. En examinant les dernières heures de Yeshua sur la croix ainsi que la période allant jusqu’à la destruction du Temple en l’an 70, on peut compter au moins 14 signes révélateurs que Dieu a laissés se produire afin de ponctuer le temps. Il y a ceux qui sont mentionnés dans les Écritures et qui seront étudiés dans le présent texte. Cependant, d’autres signes ont été enregistrés dans une source très inattendue, le Talmud. Il n’est pas certain que les rabbins se soient rendu compte de l’impact des choses qu’ils ont écrites, mais quoi qu’il en soit, le Seigneur avait un contrôle total, même sur leurs écrits. Le Fils de Dieu ne devait pas mourir discrètement.

Lorsque Yeshua est mort, plusieurs événements notables sont survenus. Il est difficile de nier qu’il s’agissait de signes. Ces signes n’étaient pas des menaces, mais des expressions de grâce, des signaux d’avertissement. Dieu n’était pas en colère. Il était triste. Il n’était pas triste pour Son Fils, mais pour Son peuple. Alors que Son Fils éprouvait toutes les douleurs des péchés anciens, présents et futurs du monde entier, notre Dieu miséricordieux implorait encore l’humanité de se repentir. « Réveillez-vous ! » Il lui disait : « Réveillez-vous ! Vous rendez-vous compte que Je vous ai donné Mon propre Fils pour que vous viviez ? » Il nous le dit encore aujourd’hui.

Les signes étudiés dans cet article se trouvent à la fois dans les Écritures et dans les textes rabbiniques. Le premier groupe se trouve dans Matthieu 27:50-53: 50 Et Yeshua, ayant encore crié d’une forte voix, rendit l’esprit . 51 Et voici, le voile du Temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas; et la terre trembla, et les rochers se fendirent , 52 et les sépulcres s’ouvrirent; et beaucoup de corps des saints endormis ressuscitèrent, 53 étant sortis des sépulcres après sa résurrection, ils entrèrent dans la sainte ville, et apparurent à plusieurs.

Six signes majeurs se sont produits lorsque Yeshua a rendu Son (dernier) Souffle.

Le premier signe, le voile déchiré, concernait le sacerdoce. Ce rideau n’était pas comme ceux que nous avons aux fenêtres de nos maisons. Selon Flavius Josèphe, le voile mesurait 60 pieds (un peu plus de 18m) sur 30 pieds (un peu plus de 9 m) et avait une épaisseur d’environ quatre pouces (un peu plus de 10 cm). Il séparait le Saint des Saints, qui symbolisait la présence de Dieu, du reste du Temple. Personne ne pouvait pénétrer dans ce lieu, à l’exception du grand prêtre, qui ne pouvait le faire qu’une fois par an, pendant le Jour des Expiations, Yom Kippour. L’accès à Dieu était donc limité; ce qui le restreignait était nos péchés. Mais alors que le Fils de Dieu prenait sur Lui tous les péchés, le voile de séparation s’est déchiré en deux, de telle sorte que ceux qui croient en Lui ont désormais un accès total à Dieu (Héb. 10:19-22). Le voile a été déchiré de haut en bas parce que c’était l’œuvre de Dieu. Si un homme devait déchirer un rideau, il commencerait par le bas, mais celui-ci a été déchiré de haut en bas, démontrant que tout le plan du salut est l’œuvre de Dieu.

Le deuxième signe, le tremblement de terre, était un appel à l’endroit du peuple.

En guise de troisième signe, des rochers ont été fendus. Ce miracle ressemble aux jugements de la fin des temps. Dans Apocalypse 6:16, les hommes demandent aux montagnes et aux rochers de tomber sur eux et de les cacher de la face de Dieu et de la colère de l’Agneau. Sur la croix, Yeshua a pris sur Lui toute la colère; c’est donc comme si un choix avait été offert aux personnes qui ont assisté à Sa crucifixion : Vous recevez Yeshua comme votre Sauveur maintenant ou Il reviendra en tant que (votre) juge.

Comme quatrième signe, des tombes s’ouvrirent. Il n’est pas surprenant que la plupart des commentateurs de la Bible mentionnent cet événement puis passent aux versets suivants. Ils ne saisissent pas l’ironie de la situation. Après la mort de Yeshua, les chefs religieux se sont empressés de retirer Son corps de la croix afin d’éviter de profaner le Sabbat. Pourtant, nous apprenons ici que pendant tout le Sabbat, des tombes sont restées ouvertes. Le Sabbat et le pays tout entier ont été profanés. Les chefs religieux ont dû remarquer les sépultures ouvertes, mais ils ne pouvaient rien faire, car c’était le Sabbat. Pourtant, ces tombeaux ouverts leur rappelaient que toute idée de consécration et de sainteté ne pouvait exister en dehors de Dieu. Ils venaient de crucifier le Fils de Dieu, mais ils souhaitaient être consacrés et saints. Ils voulaient avoir la religion, mais sans Dieu.

Après la fin du sabbat, le samedi soir, lorsque le premier jour de la nouvelle semaine a débuté, les chefs religieux ont peut-être envoyé des gens pour recouvrir ces sépultures. Toutefois, les tombes étaient vides, car les morts étaient ressuscités. C’est le cinquième signe. Il est significatif que seuls les tombeaux des croyants se soient ouverts. Ils ont été ressuscités des morts en même temps que Yeshua, et ils ont commencé à marcher dans Jérusalem. Quel grand signe cela a dû être ! Combien étaient-ils ? Vers qui sont-ils allés ? Sont-ils restés en vie longtemps ? Nous ne le savons pas, mais ce que nous savons, c’est que notre Dieu remuait ciel et terre pour le salut du peuple.

Il est surprenant que seules 3 000 personnes aient cru à la Pentecôte (Actes 2) en dépit de tous ces signes. Selon Flavius Josèphe, plus de 3 000 000 de personnes se trouvaient à l’époque à Jérusalem pour célébrer la Pâque et la Pentecôte; ce qui représente un bien piètre 0,1 % !

Le sixième signe était différent des précédents, car il se poursuivit sur un plus long laps de temps : À midi, alors que le soleil était à son apogée, une noirceur enveloppa tout le pays. Elle dura longtemps. Il ne s’agissait pas d’une simple éclipse solaire. Une éclipse totale de soleil peut durer au maximum sept minutes et demie. Cette obscurité a duré trois heures. C’était miraculeux et c’était un autre appel aux gens à reconsidérer Celui qu’ils étaient en train de crucifier.

Mais pourquoi les ténèbres ont-elles surgi à la sixième heure ? Dans Exode 12:15, Dieu a ordonné aux Israélites d’enlever le levain ( qui représente le péché ) de leurs maisons. Ils devaient le faire le premier jour, le 14 Nisan. Dans le Talmud, les rabbins ont décidé du moment exact de ce jour où le levain devait être enlevé et brûlé : « Selon R. Jehudah et R. Meir, il est interdit de manger du pain avec du levain à partir de la sixième heure; en outre, le jour du quatorze de Nissan, la période de recherche commence à cette heure. »[1] À la sixième heure du 14 Nissan, lorsque le Messie prenait sur Lui tout le péché du monde, les Juifs étaient affairés à éliminer toute trace de levain de leurs maisons. Cependant, à ce moment précis, une pénombre est survenue sur tout le pays, de telle sorte qu’ils ne pouvaient pas voir où il y avait du levain. Tout le levain se trouvait sur la croix, sur le Fils de Dieu. Voici le septième signe.

Le huitième signe concerne le moment de la mort de Yeshua. Le Messie a rendu son dernier soupir à la neuvième heure, au moment même où le dernier sacrifice de la journée était offert.[2]

Imaginez que vous êtes un Israélite vivant à Jérusalem à cette époque. En bon juif, vous êtes à la recherche du levain dans votre maison puis, alors que vous tenez peut-être un peu de ce levain dans votre main, le sol se met à trembler sous vos pieds. Alors que vous êtes ballotté de gauche à droite par le tremblement de terre, le levain s’échappe de votre main pour se retrouver dans les airs. À ce moment-là, l’obscurité totale survient. Soudain, vous entendez un énorme bruit que vous n’avez jamais entendu auparavant, et quelqu’un crie : « Les rochers se fendent ! ». Un peu plus tard, vous entendez des gens dehors, s’écriant que des tombes se sont ouvertes. D’autres crient que certains morts ont été aperçus dans les rues de Jérusalem. Réfléchissez-y ! Ce devait être le moment le plus terrifiant qui soit pour un Israélite. Est-ce que vous avez cru un seul instant que Dieu allait laisser son Fils mourir sur la croix sans remuer ciel et terre et sans faire le moindre bruit ?

Les miracles étaient encore plus percutants pour les prêtres qui se trouvaient au Temple. Contrairement au reste de la population, ils ont vécu des signes supplémentaires qui ont été décrits dans les écrits rabbiniques. Le Talmud confirme que Yeshua a été crucifié le jour de la Pâque : « La veille de Pessah, ils ont pendu Jésus [le Nazaréen]. »[3] Il explique ensuite ce qui s’est passé au Temple après la déchirure du voile : « Au cours des quarante dernières années précédant la destruction du Temple, le sort [‘Pour l’Éternel’] ne s’est pas présenté dans la main droite du grand prêtre […] et la lampe occidentale n’a pas brillé non plus. » Ce passage révèle que quarante ans avant la destruction du Temple, c’est-à-dire au moment de la crucifixion, le chandelier du Lieu Saint s’est éteint tout seul. Ce chandelier était appelé « le plus à l’ouest » parce qu’il était placé sur le versant ouest du Lieu Saint.

La lumière du chandelier était très importante pour les prêtres puisqu’à leurs yeux, elle représentait la présence de Dieu : « Mais c’est un témoignage pour l’humanité que la Présence Divine repose en Israël. Quel est ce témoignage ? dit Rab : C’était la branche occidentale [du chandelier ] »[5]. Les rabbins considéraient la lumière comme un signe que la Shechinah reposait sur Israël. Alors que le lieu saint s’assombrissait complètement, le grand prêtre a dû se précipiter à l’extérieur, où régnait également l’obscurité. Au même moment, le voile s’est déchiré de haut en bas. Toutes ces choses ont dû avoir un grand effet sur lui et sur les autres prêtres. C’était le neuvième signe.

Le dixième signe a dû être retentissant. Le Talmud dans le traité Yoma dit : « Les portes du Hekal s’ouvrirent d’elles-mêmes. »[6] Il s’agit des portes du Temple. Il y en avait huit et bien que le Talmud ne précise pas quelles portes s’étaient ouvertes, il s’agissait probablement des portes principales, celles du côté est. Flavius Josèphe évoque ces portes et rapporte aussi qu’elles s’ouvrirent toutes seules : « De surcroît, la porte orientale de la cour intérieure du temple, qui était d’airain et extrêmement lourde, qui était fermée avec difficulté par vingt hommes, qui reposait sur une structure renforcée par du fer et dont les boulons étaient fixés très profondément dans le plancher, qui était faite d’une seule pierre, a été vue s’ouvrir d’elle-même vers la sixième heure de la nuit »[7].  Cela a dû être très bruyant. Les pauvres prêtres qui se trouvaient dans le Temple se sont retrouvés sans lumière, le voile s’est déchiré, la porte s’est ouverte mystérieusement et le tremblement de terre les a ébranlés. Actes 6:7 dit que beaucoup d’entre eux crurent dans le Messie Yeshua.

Les autres signes ne se sont pas produits à la sixième heure de la crucifixion comme les autres, mais dans les années qui ont abouti à la destruction du Temple en l’an 70. Il y eut une période de grâce de quarante ans, une phase de réveil que Dieu a permise en plus de ce qu’Il avait déjà donné ; ces années ne sont pas passées inaperçues dans l’histoire d’Israël comme le montre le signe suivant. Ce signe est directement associé à la déchirure du voile et a duré jusqu’à la fin de l’époque du Temple. Il a débuté le jour de la fête de Yom Kippour, qui a eu lieu après la crucifixion. À cette occasion, les rabbins ont remarqué un changement drastique. Parmi les nombreux sacrifices du Jour des Expiations, deux boucs devaient être présentés au grand prêtre; l’un était sacrifié et l’autre, le bouc émissaire, était relâché (Lév. 16:7-10). Le mot hébreu pour « bouc émissaire » est Azazel. Le Talmud raconte que les rabbins avaient l’habitude d’attacher un ruban rouge au cou de l’Azazel; lorsqu’il s’en allait dans le désert, le ruban rouge devenait blanc. Il s’agissait d’un miracle annuel qui se produisait à Yom Kippour. Les rabbins interprétaient ce miracle comme un signe de Dieu indiquant que leurs péchés étaient expiés (Ésaïe 1:18). Le jour de Yom Kippour, pendant l’année de la crucifixion, quelque chose a commencé à se produire : « Au cours des quarante dernières années précédant la destruction du Temple, le sort [‘Pour l’Éternel’] ne s’est pas présenté dans la main droite du Grand Prêtre […]. [et] la lanière cramoisie [n’est pas] devenue blanche. »[8] Le « sort pour le Seigneur » fait référence au bouc émissaire du Lévitique 16; la lanière rouge n’est pas devenue blanche comme elle le faisait miraculeusement auparavant, pendant de nombreuses années.

Remarquez comment Dieu s’est adressé directement aux chefs religieux d’Israël à travers leurs propres écrits, en les amenant à réaliser que quelque chose d’extraordinaire s’est produit lorsque Yeshua a été crucifié. Les mots ne peuvent être plus limpides. Le moment ne peut être plus évident. Cherchez donc et cherchez qui est le Messie !

Le douzième signe est tout aussi significatif. Juste après avoir mentionné Azazel, le Talmud associe le bouc émissaire au nom explicite de Dieu : « Les rabbins ont enseigné : Le grand-prêtre prononçait six fois le nom de Dieu, tel qu’il est écrit (Jéhovah), pendant le Jour des Expiations : trois fois lors de la première confession et trois fois lors de la seconde confession; la septième fois, lorsqu’il avait tiré le sort. »[9] Une fois par an, au temps de l’Azazel, le grand prêtre prononçait le nom de Dieu. Nous ne connaissons plus la prononciation exacte de Son nom. « Yahweh » ou « Jéhovah » sont des prononciations assez récentes. La dernière fois que le nom explicite de Dieu a été prononcé dans sa formulation originale était l’année de la crucifixion. Le Talmud rapporte que quarante ans avant la destruction du Temple, les prêtres ont cessé de prononcer le Nom.[10]  L’Encyclopédie juive relate : « À partir de ce moment, la prononciation du nom fut interdite : ‘Quiconque prononce le Nom perd sa part dans le monde à venir’. »[11] 

Ce fut un changement radical. À partir de ce moment, Dieu a eu un nouveau nom; le premier nom a été gracieusement transformé en Yeshua, qui signifie « salut ». C’est le nom du Messie. Selon Actes 4:10-12, il n’y a pas d’autre nom sous le ciel par lequel nous devons être sauvés.

Le treizième signe concerne le Sanhédrin, l’auguste tribunal d’Israël dont le chef était le grand prêtre. Cette organisation, pour des raisons inconnues, a été renvoyée de l’enceinte du Temple : « Quarante ans avant la destruction du Temple, le Sanhédrin s’est exilé et a pris place dans les halles commerciales. »[12]  Le fait que les deux Talmuds rapportent cet événement montre à quel point ce fut un coup dur pour le Sanhédrin. Juste après la crucifixion de Yeshua, le Sanhédrin, qui s’était réuni pendant plusieurs centaines d’années dans la Salle des Pierres Taillées, a dû quitter le Temple pour un endroit appelé « Hanuth » sur le mont des Oliviers. « Hanuth » signifie « marché ». Ainsi, les soixante-dix membres du Sanhédrin devinrent comme les vendeurs chassés du Temple par le Messie. En raison de ce déménagement, l’influence du tribunal diminua.

Le dernier signe illustre également la perte de pouvoir du Sanhédrin : « Quarante ans avant la destruction du Temple, le droit de juger les causes capitales fut retiré aux tribunaux israélites. À l’époque de R. Simeon b. Shatah, le droit de trancher des litiges fonciers fut retiré aux tribunaux israélites. »[13] Non seulement le Sanhédrin a été retranché de l’enceinte du Temple, mais il n’avait plus le droit de statuer sur certaines affaires. Après avoir injustement jugé le Fils de Dieu, ils ont été rétrogradés.

À partir de ce moment-là, les choses ne furent plus les mêmes en Israël. Entre la crucifixion et l’an 70, les insurrections et les guerres ont envahi le pays. Plus de 50 000 Juifs ont été tués dans la ville de Séleucie du Tigre et 20 000 sont morts à Césarée dans une autre bataille. Des rumeurs incessantes de guerre maintenaient les Juifs dans un état d’instabilité. En l’an 70, les Romains sont entrés dans Jérusalem sous Titus, ont tué 1 300 000 Juifs et en ont emmené beaucoup en captivité. Jérusalem fut labourée comme un champ. Ce fut le début de la dispersion des Juifs et l’histoire atteste de l’agitation continuelle au sein de la population juive. Selon les Écritures, cette période de troubles ne s’arrêtera pas avant la seconde venue du Messie.

Dieu utilise encore aujourd’hui des miracles pour sauver les gens. Le seul signe qu’Il utilise encore et toujours se trouve dans 2 Corinthiens 3:2-3, où il est dit : Vous êtes, vous, notre lettre, écrite dans nos cœurs, connue et lue par tous les hommes ; vous êtes, à l’évidence, une épître du Messie, administrée par nous, écrite non avec de l’encre, mais par l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, c’est-à-dire du cœur. Pour traduire ces versets en termes très simples, les croyants sont le miracle d’aujourd’hui. À bien des égards, ils représentent la lettre ambulante de Dieu à ce monde, et leur présence, qui est empreinte de l’Esprit du Dieu vivant, est le moyen par lequel ces signes sont préservés. Du Saint des Saints, Dieu s’est déplacé pour prendre résidence dans le cœur des croyants, qui sont désormais Son Temple (1 Cor. 6:19).

Cet article a été publié pour la première fois dans le magazine Ariel, printemps 2019, vol. 1, numéro 30. Il est republié sur ce site avec la permission de l’éditeur et du propriétaire des droits d’auteur : Ariel Ministries USA, San Antonio, TX. Tous droits réservés.

[1] Talmud de Babylone, Traité Pessahim 1 (Rodkinson, Vol. 5, p. 3).

[2] Flavius Josèphe, Ant.14.4.3.

[3] Talmud de Babylone, Traité Sanhédrin, 43a.

[4] Talmud de Babylone, Traité Yoma, 39b.

[5] Talmud de Babylone, Traité Sanhédrin, 22b.

[6] Talmud de Babylone, Traité Yoma, 39a.

[7] Flavius Josèphe, La Guerre des Juifs VI, v. 3 (Whiston)

[8] Talmud de Babylone, Traité Yoma, 39b.

[9] Ibid.

[10] Ibid.

[11] Jewish Encyclopedia, Vol. 9, p. 162, citant le Traité Sanhédrin. xi. 1.

[12] Talmud de Jérusalem, Traité Sanhédrin 12; Talmud de Babylone, Traité Sabbat, 15a.

[13] Talmud de Jérusalem, Traité Sanhédrin 7:2.

 

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