Mercredi 12 mars
7 ensembles-cadeaux ont été distribués ce jour-là.
Par cette belle journée ensoleillée, une équipe de deux dames a visité un petit centre commercial local, principalement francophone. L’équipe n’y était pas allée depuis environ trois mois à cause de l’intervention d’un homme Juif qui avait commencé à enregistrer les messages sur son téléphone. Elles ont décidé de laisser passer un moment dans ce quartier avant d’aller dans un autre plus grand.
L’équipe a rencontré un homme Marocain assis dans une voiture stationnée en double. Il attendait le retour du chauffeur parti faire des commissions. L’équipe lui a offert un Tanakh en hébreu et en anglais, qu’il a accepté en disant qu’il le donnerait à son fils. Elles lui ont ensuite proposé le Brit Chadashah, mais il a hésité. Elles lui ont parlé du Messie, des prophéties à son sujet et de leur accomplissement lors de sa première venue. Elles lui ont expliqué qu’il était important de connaître le vrai Messie à travers les Écritures. Finalement, l’homme a pris le Brit et l’équipe a déclaré qu’elle était bénie de lui offrir cet ensemble-cadeau. Cet homme a été humble et bienveillant envers elles.
Ils ont ensuite discuté avec une femme non-juive récemment opérée de la hanche. Elle leur a parlé quelques instants et leur a confié quelques informations personnelles. Elle leur a expliqué qu’elle était chrétienne et, à ce moment-là, ils lui ont remis le dépliant antisémite et la carte Beth Ariel.
Un ensemble fut remis à un homme qui leur avait dit tout d’abord ne pas être religieux. Il prit le dépliant sur l’antisémitisme et l’épinglette ornée d’un ruban jaune pour rappeler les otages. Il s’exclama : « Oh, je veux bien cela ! » En réponse, ils lui dirent qu’ils avaient quelque chose de plus précieux que l’épinglette et lui présentèrent le Tanakh. Bien qu’il dise ne pas être religieux, ils lui dirent qu’il était très important de connaître la parole de Dieu et le Messie. Il prit les choses à la légère jusqu’à ce qu’on lui explique combien il était important de savoir où son âme irait après sa mort. Ils lui dirent qu’il avait le choix entre la vie éternelle et la honte éternelle. Il prit les deux livres et la carte-contact. On lui conseilla d’aller sur le site web de Beth Ariel et d’écouter les enseignements de notre enseignant messianique. Ils lui ont dit aussi combien il est important d’avoir une relation avec Dieu et de se réconcilier avec Lui à cause du péché. Il voulut connaître le prix des livres, mais on lui répondit qu’ils étaient gratuits, ce dont il fut reconnaissant.
Ils ont rencontré une belle dame dont le mari de 95 ans était hospitalisé. Ils ont prié pour elle et pour la guérison de son mari. Elle s’est déclarée chrétienne et a expliqué qu’elle était mariée depuis 54 ans. Elle a pris le dépliant sur l’antisémitisme et la carte Beth Ariel.
Ils ont alors décidé d’aller dans un autre centre commercial, car la circulation avait diminué. Le moment était bien choisi : ils ont aperçu une voiture de sécurité garée dans le stationnement et, bien qu’il n’y ait personne à bord, ils ont estimé qu’il était mieux de changer d’endroit.
Ils sont alors allés dans un autre centre commercial, mais à leur arrivée, ils aperçurent trois voitures de sécurité garées et décidèrent de partir immédiatement pour un autre centre. Dans ce nouveau centre commercial, ils aperçurent d’abord un taxi avec l’inscription « Jésus » sur sa plaque d’immatriculation. Ils y ont vu un encouragement divin à poursuivre leur route. Le chauffeur s’arrêta et baissa sa vitre, pensant qu’ils avaient besoin d’un taxi, car ils le regardaient. Ils lui dirent qu’ils regardaient sa plaque et, voyant qu’ils avaient des brochures, il leur en demanda une et ils lui donnèrent la brochure sur l’antisémitisme et la carte- contact de Beth Ariel.
Ils ont fait la rencontre d’une dame Française originaire du Maroc qui disait craindre le Seigneur et l’appelait Ha Shem. Elle reçut l’ensemble complet et ils ont pu lui parler de Yeshua et du texte d’Ésaïe 53. Ils lui expliquèrent comment le péché séparait l’homme de Dieu et que seul le Messie pouvait la rendre juste devant Lui. Ils parlèrent également de l’expiation par le sang nécessaire à la rédemption de l’âme et de la valeur expiatoire des sacrifices accomplis à Yom Kippour. Ils lui ont mentionné Lévitique 17. 11. Elle a approuvé et compris ce qu’ils disaient. Ils lui ont lu Ésaïe 53 et lui ont dit que Jésus pouvait effacer son iniquité. Elle tenait des provisions, mais elle a serré l’équipe dans ses bras, a salué leur travail et a déclaré une bénédiction sur eux.
Finalement, ils ont rencontré une femme juive d’Iran qui a pris un ensemble-cadeau avec joie. Ils ont parlé de Jésus et lui ont présenté le Nouveau Testament. Cette femme leur a montré un enseignement qu’elle suivait sur internet ; ils lui ont donc donné une carte-contact et ils se sont serrés dans leurs bras. Elle était très reconnaissante.
Plus tard, l’équipe a pris le temps d’aller prendre un café dans un fast-food. En entrant, ils ont remarqué un couple assis en train de déguster un café. Alors qu’ils faisaient la queue, ils ont discuté avec un homme qui faisait la queue avec eux. Ils ont dit doucement « Hag Sameach » et il leur a rendu la pareille. Ils ont dit à l’homme de l’attendre car ils avaient un cadeau, et il a attendu. Pendant qu’un membre de l’équipe se dirigeait vers la voiture pour prendre un ensemble-cadeau, l’autre est allé parler au couple. L’autre membre est revenu dans le restaurant avec deux coffrets.
En attendant, l’autre membre de l’équipe s’est approché du couple et a constaté qu’ils étaient ashkénazes. Elle leur a parlé des promesses de Dieu, du Tanakh et du peuple élu. Elle leur a donné un dépliant de la Pessah (Pâque) et leur a raconté l’histoire d’Esther et de Mardochée. Elle a expliqué que ces personnes étaient responsables d’avoir sauvé leur peuple Israël.
L’autre membre a offert l’ensemble-cadeau à l’homme qui l’attendait. Lui aussi était marocain, et il l’a accepté avec joie et gratitude. Il a également pris la carte-contact de Beth Ariel.
Ce membre a ensuite rejoint l’autre personne de l’équipe et, ensemble, ils ont parlé au couple de Yeshua et du messianisme, de leur croyance en Yeshua, le Messie, et de la façon d’être déclaré juste devant Dieu. La dame a répondu qu’elle ne croyait pas au Messie, et ils ont répondu que s’il en était ainsi, il n’y aurait ni rédemption des péchés ni paix, comme le décrivent les Écritures. Ils ont discuté du plan de rédemption de Dieu, du péché et de la promesse du Messie à venir. À propos du péché, ils ont parlé d’Adam et Ève qui se sont cachés de Dieu à cause de leur péché. Ils ont ensuite mentionné le sacrifice final pour le pardon des péchés, payé par Yeshua, le Messie. L’équipe leur a montré le dépliant d’Ésaïe 53 qui mentionnait la rédemption et qui relatait également les paroles d’Ésaïe selon lesquelles, bien que les péchés des hommes soient rouges comme l’écarlate, ils seraient blancs comme la neige lorsqu’ils recevraient la rédemption de leurs péchés par le Messie. L’équipe les a encouragés à écouter les enseignements à la radio et les a invités à assister à la congrégation. Ils se sont serrés dans les bras et l’équipe s’est émerveillée de la conversation qu’ils venaient d’avoir.
L’équipe a remercié tout le monde pour ses prières et a loué Dieu pour sa fidélité et sa protection.
Vendredi 14 mars 2025
3 ensembles-cadeaux, 3 Tanakh et 2 Brit Chadashah ont été remis.
Par cette journée ensoleillée et douce, deux dames de l’équipe se trouvaient dans une grande zone commerciale et ont remarqué que les gens souriaient et prenaient leur temps pour rejoindre leurs voitures. Le temps s’était amélioré et tout le monde profitait du soleil. Elles ont rencontré une femme qui a pris un Tanakh tout en souriant à l’équipe, mais elle était déjà en train de monter dans sa voiture, et la conversation a donc été interrompue.
Elles ont ensuite rencontré un Italien qui semblait avoir des origines juives. L’homme a entamé la conversation en parlant de Yeshua après avoir pris une brochure de l’équipe. On lui a demandé comment il avait connu Yeshua, et il a répondu que c’était plutôt Yeshua qui l’avait trouvé. Elles ont longuement parlé de sa foi et de son écoute régulière du pasteur Gabizon sur Radio Shalom. Il a expliqué qu’il était croyant depuis le début de la trentaine et qu’il avait maintenant la cinquantaine. Lui et son cousin, également croyant, participent à des réunions d’étude et de prière hebdomadaires. On lui a donc remis la carte-contact de Beth Ariel et on l’a invité à la congrégation à laquelle il souhaitait participer. Il a demandé au moins deux fois à l’équipe de saluer le pasteur et de lui faire savoir qu’il écoutait ses émissions. Priez pour « D. ».
Une femme d’une soixantaine d’années a reçu un Tanakh devant sa voiture, mais elle voulait d’abord savoir s’il s’agissait de la traduction originale. Ayant été assurée que oui, elle l’a pris. Elle a également demandé à l’équipe s’ils faisaient partie des Juifs pour Jésus. Ils ont répondu que non, mais qu’ils étaient messianiques et croyaient que Yeshua était le Messie. Elle a hésité un instant à prendre le Tanakh, mais quand ils lui ont dit que ce n’était pas le Nouveau Testament, elle l’a accepté avec joie.
Ils ont rencontré une femme juive très pressée qui a dit qu’elle ne pouvait pas s’arrêter, mais elle a commencé à leur parler en yiddish en déposant le chariot de courses. Elle était très bavarde et heureuse lorsqu’ils lui ont présenté le Tanakh, mais elle a refusé, prétextant qu’elle en avait déjà un. On lui a rapidement proposé le texte en anglais et elle a dit : « Je prends celui-là. » Elle s’est précipitée vers sa voiture, leur disant qu’elle allait le lire et, montant dans sa voiture, a lancé une bénédiction en hébreu.
Ils ont ensuite salué un homme Juif à qui on avait offert le dépliant sur l’antisémitisme. Il s’est immédiatement dit préoccupé par le sort du peuple juif pendant la guerre en Arménie. Il a dit savoir qu’ils s’étaient rendus à Tel-Aviv et s’interrogeait sur la situation des familles. Il a également parlé du roi du Maroc et de la façon dont il avait sauvé de nombreux Juifs. Ils lui ont discrètement présenté le Tanakh et, l’acceptant, on lui a offert le Brit Chadashah. Ils lui ont expliqué le livre et son lien avec le Tanakh. Ils ont souligné que le premier livre du Brit, l’évangile de Matthieu, mentionne la généalogie du Messie, Yeshua. Il a accepté le livre avec joie et les a remerciés.
Un homme Français a été abordé alors qu’il rangeait ses courses dans le coffre de sa voiture. Il était consterné car son sac de spaghettis s’était ouvert et s’était vidé. L’équipe s’est approchée et lui a proposé son aide. Ils ont également dit qu’ils avaient un cadeau pour lui et lui ont offert l’ensemble en français et comme il a vu la qualité du cadeau, il a soulevé le Tanakh et le prenant dans ses mains, il a dit qu’il le prendrait et les a remerciés en disant qu’il avait besoin de ce cadeau.
Alors qu’ils disaient au revoir au monsieur Français, ils aperçurent un homme assis dans sa voiture. En les regardant, il baissa la vitre et leur demanda ce qu’ils faisaient. Ils lui donnèrent un dépliant sur l’antisémitisme en lui demandant s’il avait des amis Juifs qui souhaiteraient recevoir les Écritures en cadeau. Il leur répondit qu’il avait un ami juif, et ils lui offrirent donc un exemplaire en français ainsi que quelques brochures de la Pessah. Il fut très heureux et reconnaissant.
Un exemplaire en anglais fut offert à une dame très élégante, vêtue d’un manteau de fourrure. Elle accueillit l’équipe à sa voiture en chargeant les courses. Ils expliquèrent à la femme qu’ils étaient messianiques et croyaient que Yeshua était le Messie. Elle les écouta expliquer que le Brit Chadashah avait été écrit par des hommes Juifs qui croyaient que Yeshua était le Messie promis. Elle ne précisa pas si elle était d’accord ou non, mais lorsqu’on lui offrit l’épinglette jaune rappelant les otages, elle en demanda deux pour pouvoir en offrir une à son mari. On lui a remis la carte-contact Beth Ariel et deux cartes de réconfort. Elle a ensuite accepté l’ensemble-cadeau et l’a déposé dans sa voiture.
L’équipe a ensuite quitté la zone, le calme revenu, pour se rendre dans un autre centre commercial tout près. Quelques dépliants ont été distribués et les participants ont échangé quelques mots. La première personne rencontrée était une femme assise sur son déambulateur, juste devant la porte de la banque. Elle a salué l’équipe avec gentillesse et accepté la brochure et une épinglette jaune, et elle en a demandé une pour sa fille. On lui a également remis la carte-contact et on l’a encouragée à suivre les enseignements en ligne. À ce moment-là, sa fille est sortie de la banque et un membre de l’équipe l’a reconnue, car elle avait reçu l’ensemble-cadeau lors d’une précédente rencontre. Elles ont discuté quelques minutes, puis la fille et la mère sont parties faire d’autres achats.
Ils ont rencontré un Juif orthodoxe du mouvement Chabad qui a dit à l’équipe qu’il était psychologue. Il portait un chapeau noir et une longue veste noire. Il n’a pas accepté le dépliant qui lui a été proposé, mais est resté discuter avec l’équipe pendant une vingtaine de minutes. Il semblait humble, mais son discours était ferme. Il voulait leur donner sa carte, mais n’en ayant pas, le membre de l’équipe lui a offert la carte de Beth Ariel, qu’il a acceptée. L’équipe a parlé de la lumière du peuple juif et ont cité Genèse 1. 3 quand Dieu a dit : « Que la lumière soit ! » et la lumière fut. Ils ont parlé du Messie, la lumière venue dans le monde pour la montrer et devenir l’expiation des péchés. L’homme ne croyait pas au péché, mais parlait des bonnes œuvres qui mènent à la rédemption. Ils lui ont alors dit que le Messie était venu, que la rédemption était venue par son sang expiatoire et que seul ce Messie pouvait rendre juste. L’homme ne voulait rien entendre, mais accepta la carte et, avant de partir, raconta une parabole à propos d’un roi qui offrait des cadeaux de différentes tailles à sa cour. Leurs réponses à ces cadeaux augmentaient leur richesse. Originaire d’Israël, cet homme était arrivé au Canada il y a quarante-trois ans. Il remercia les dames pour leur temps et les quitta.
L’équipe rencontra d’autres personnes, dont un jeune couple juif qui accepta les dépliants. C’est ainsi qu’ils conclurent leur journée en remerciant ensemble tous ceux qui avaient prié pour eux.
Dimanche 16 mars
Une Bible russe et de nombreux dépliants ont été distribués ce jour-là.
Une équipe de deux dames se sont retrouvées de nouveau dans un centre commercial malgré une légère pluie qui s’était arrêtée plus tôt dans la journée. À l’approche du centre commercial, elles ont remarqué une voiture qui les précédait. Sur la plaque d’immatriculation, un panneau indiquait : « Jésus, le chemin, la vérité et la vie ». Cela les a encouragées.
Une Bible en russe a été donnée à un Ukrainien Russe qui pouvait leur parler en anglais. La conversation a duré une vingtaine de minutes. Il comprenait que Dieu était le créateur du monde, mais lorsque l’équipe lui a dit que Dieu l’avait créé lui, il était incertain et hésitant. Ils lui ont alors cité un verset des Psaumes qui disait que la terre appartenait au Seigneur et tout ce qu’elle contenait, le monde et tout ce qui l’habite. Ils lui ont dit que Dieu était le créateur de toutes choses et qu’il l’avait également créé. Ils lui ont demandé ce qu’il pensait de Dieu et il a répondu qu’il ne croyait pas à la religion et que c’était une arnaque. Ils lui ont dit qu’ils étaient d’accord mais qu’il ne s’agissait pas de religion, mais plutôt d’une relation personnelle avec le Dieu qui l’avait créé. Ils lui ont dit que la Bible disait la vérité, que Dieu était la vérité, qu’il ne mentait pas et qu’il était saint. Ils lui ont dit qu’il pouvait compter sur la parole de Dieu et lui ont demandé ce qui, selon lui, séparait l’homme de Dieu. Il a répondu qu’il n’en était pas sûr. Ils lui expliquèrent que le péché séparait l’homme de la sainteté de Dieu et qu’il comprenait que l’homme seul ne pouvait pas l’effacer. Lorsqu’il vit la Bible en russe qui lui était offerte, il la prit et en fut très reconnaissant. Ils lui donnèrent la carte-contact et l’invitèrent à venir visiter la congrégation, puis lui donnèrent le dépliant sur Ésaïe 53 à lire. Il fut très surpris de recevoir tout en russe et en fut très reconnaissant.
Ils ont alors distribué de nombreux dépliants sur l’antisémitisme et la Pâque juive. Ils ont parlé à un homme marié à une dame catholique, qui déclarait ne pas comprendre l’aspect spirituel de la persécution d’Israël. Ils lui ont expliqué que c’était une haine éternelle, car la parole de Dieu et le Messie venaient d’Israël. Il n’a pas vraiment voulu les écouter, mais leur a dit qu’il croyait en toutes les religions et a commencé à parler d’amour. Ils lui ont expliqué que, dans la Bible, Dieu a dit que seul le Messie pouvait changer le cœur des gens. Ils ont souligné l’importance pour lui de se réconcilier avec Dieu à cause du péché. Ils lui ont expliqué que seuls deux choix dans la vie guidaient le chemin de l’homme après la mort : l’un menait à la vie éternelle, l’autre à la honte éternelle, et que l’âme ne meurt jamais. Il a pris le dépliant sur l’antisémitisme, la carte de réconfort et la carte-contact.
Ils rencontrèrent alors un homme qui disait respecter la Torah et lui dirent qu’il était important pour lui de connaître tout le Tanakh, y compris les prophètes et les écrits. Il comprenait qu’ils étaient messianiques et ne partageait pas leur opinion que Yeshua était le Messie. Lorsqu’ils évoquèrent la résurrection, il répondit qu’il n’y croyait pas non plus, ni à la Trinité. Il leur dit que le Fils de Dieu n’était pas présent dans les Écritures. Ils lui demandèrent donc de lire le Psaume 2, auquel il répondit que ce Psaume ne faisait pas partie des Écritures, mais se trouvait ailleurs dans un livre écrit par David. L’équipe réalisa alors que les pensées de l’homme étaient contraires à la Parole, mais au moins ils ont pu partager des informations avec lui et lui dire que seul le Messie pouvait effacer son péché. Il accepta le dépliant sur l’antisémitisme.
Ils ont continué à distribuer des dépliants, puis ont rencontré une dame et lui offert le Tanakh, mais elle répondit en avoir déjà un. Ils lui proposèrent le Brit, mais elle refusa également. Pendant qu’ils lui parlaient, l’homme qui rassemblait les chariots d’épicerie remarqua l’équipe mais il ne leur dit rien.
Ils ont ensuite rencontré l’homme qui leur avait parlé le jour même, qui disait ne pas croire à la résurrection. Il est venu les voir et avait quelqu’un au téléphone avec qui il souhaitait que l’équipe s’entretienne. La conversation a duré une vingtaine de minutes. Cet homme croyait en la loi orale écrite, dont l’équipe savait qu’elle avait été écrite par l’homme. L’équipe a donc entamé la conversation sur la généalogie du Messie et sur la croyance des rabbins de l’époque en la venue de deux Messies. Ils ont expliqué qu’il s’agissait en réalité d’un seul Messie qui viendrait deux fois. Ils ont dit que Yeshua, le Messie, avait accompli toutes les prophéties écrites à son sujet dans le Tanakh lors de sa première venue. Les hommes n’étaient pas d’accord et ils leur ont alors annoncé que le Messie reviendrait régner à Jérusalem. Leurs propos ont clairement montré qu’ils n’étaient d’accord avec aucun des points de vue exprimés par l’équipe. L’équipe, cependant, était heureuse de pouvoir partager la parole avec eux et leur a dit que s’ils souhaitaient en discuter davantage, ils pouvaient contacter leur enseignant messianique. L’équipe demande aux gens de prier pour ces hommes afin qu’ils reçoivent la Ruah HaKodesh qui convaincra leur cœur de péché et suggéra de lire Ésaïe 53 et le Psaume 2. Ils ont remercié Dieu qui est puissant pour sauver.
Plus tard, une dame de l’équipe a raconté qu’elle avait repensé à la conversation qu’elle avait eue avec une autre de l’équipe avant le début de leur sortie. Elle a mentionné le verset de Jean 14. 6 qui dit qu’Il est le chemin, la vérité et la vie. Elle a également raconté comment, au début de leur visite au centre commercial, ils avaient vu une voiture portant ce même verset, affirmant que Dieu saisit chaque occasion pour encourager ceux qu’Il dirige vers ses voies. L’équipe a réfléchi à cela et a remercié Dieu pour sa protection, tout en se souvenant de l’employé qui avait écouté leur conversation alors qu’il rassemblait les chariots sur le parking. Ils étaient reconnaissants pour sa protection.